Le projet pour l’Articulation Transfrontalière des Eaux et de la Biodiversité (BIO-PLATEAUX) est financé par le Programme de Coopération Interreg Amazonie (PCIA) sous la coordination de la Collectivité Territoriale de Guyane (CTG). Le projet est également soutenu par le Centre National d’Etudes Spatiales (CNES), l’Office de l’Eau de Guyane (OEG) et la Direction de l’Environnement de l’Aménagement et du Logement de Guyane (DEAL).
Les bassins versants transfrontaliers
Le projet est mise en œuvre sur les bassins versants du Maroni (partagé entre la Guyane française et le Suriname) et de l’Oyapock (partagé entre la Guyane française et l’Etat fédéré de l’Amapá au Brésil).
Les enjeux
Préserver les ressources en eau et une biodiversité aquatique exceptionnelles | |
Évaluer les contraintes pour le suivi des ressources |
|
Considérer les incertitudes liées aux changements climatiques et le risque d’inondations | |
Observer le transport sédimentaire de l’amont à l’avant | |
Intégrer les enjeux humains partagés par-delà les frontières: usages et pollutions |
Les enjeux en vidéo:
Objectifs et composantes du projet BIO-PLATEAUX
Le projet BIO-PLATEAUX se propose de développer les partages d’informations sur l’eau et la biodiversité des milieux aquatiques entre la Guyane française et ses voisins du Brésil et du Suriname, notamment sur les bassins versants respectifs de l’Oyapock et du Maroni. Pour atteindre cet objectif, il prévoit deux composantes :