BIO-PLATEAUX
Un territoire commun
Le projet BIO-PLATEAUX, pour l'Articulation Transfrontalière de l'Eau et de la Biodiversité, est cofinancé par l'Union Européenne au travers du Programme de Coopération Interreg Amazonie. Il vise à développer le partage de données, informations et expériences sur l'eau et la biodiversité en milieu aquatique entre la Guyane Française, le Brésil et le Suriname, en particulier dans les deux bassins transfrontaliers des fleuves Oyapock et Maroni.
Actualités
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1 mois 3 semaines ago
Signature de la Convention de partenariat entre le Ministère des Travaux Publics du Suriname et l’Office International de l’Eau pour la mise en oeuvre de la Phase II du projet BIO-PLATEAUX
2 mois 1 semaine ago
Les jeunes des deux rives de l’Oyapock se mobilisent avec BIO-PLATEAUX à l’occasion de la journée mondiale de l’eau
2 mois 3 semaines ago
Participation du projet BIO-PLATEAUX au Conseil du Fleuve Oyapock – 6 Mars 2024
Événements
Conférences, groupes de travail, formations …
Les évènements permettent de suivre les avancées des différents projets, n’hésite pas à nous rejoindre lors de l’une de nos conférences pour en savoir plus ! Toutes les conférences sont indiquées sur ce site.
07/09/2021 12:45 -03:00 ° Marseille, Parc Chanot, Hall 3 Auditorium du Pavillon France
Partage d'expérience
& bonnes pratiques
Bulletin hydrologique Oyapock - 2021-03-01
Bulletin hydrologique Maroni - 2021-03-01
Bulletin hydrologique Oyapock - 2021-02-26
Bulletin hydrologique Maroni - 2021-02-26
Bulletin hydrologique Oyapock - 2021-02-25
Bulletin hydrologique Maroni - 2021-02-25
Démarrage des activités de la planification pour la gestion des données
Les objectifs
Planification claire et partagée pour l’ensemble des processus de production/ collecte/ gestion/ traitement et diffusion des données et informations relatifs à l’ensemble des thèmes prioritaires. Cela implique :
Observation des stations hydrologiques surinamaises- Bassin du Maroni
Mission de terrain du 23 au 27 novembre 2020
Depuis la conférence BIO-PLATEAUX de novembre 2019, les différents échanges entre les acteurs surinamais et français ont montré la nécessité d'améliorer les connaissances avec l'installation et la réhabilitation de stations d'hydrologie ; la priorité est apparue pour les questions de gestion des risques quantitatifs (inondations/sécheresses) et de sécurisation de l'approvisionnement en eau potable.